
Marcel Fassler, No.2 Audi
« Il y a eu de gros changements depuis l’année dernière… il y avait encore des parties du circuit dans le noir. Maintenant on pourrait presque rouler sans les phares, tellement il y a de lumière. Je n’ai fait que 5 tours de nuit hier, mais j’ai bien vu la différence et c’est très sympa à rouler. J’aime bien venir ici, mais je crois que c’est plus parce que j’ai une impression de vacance. Ce n’est pas mon tracé préféré, il y en a d’autres que j’apprécie bien plus, et il n’est pas évident d’être rapide ici. Il y a beaucoup de technologie en jeu et il faut vraiment trouver les bons réglages. Il est aussi éprouvant pour les pneumatiques et je crois que tout le monde en souffre.
« Par contre j’adore l’ambiance dans les paddocks, surtout avec la fête, cela rend cette épreuve très particulière et unique sur notre calendrier de la saison. »
Tom Kristensen, Audi n°1
« L’éclairage autour de la piste est vraiment super, parfois il nous faut regarder nos infos à deux ou trois fois, car il y a vraiment beaucoup de lumière dans le cockpit, mais ce n’est pas vraiment un problème.
Brendon Hartley, Porsche n°20
« Après deux ou trois virages, on oublie carrément les lumières. Piloter de nuit est certainement ce que je préfère en endurance. La visibilité est très bonne et on retrouve nos repaires de la journée très rapidement. Mais c’est une des qualités des pilotes d’endurance, et on n’arrête pas d’aimer le pilotage juste parce que la luminosité est différente ou moins importante. Tant qu’on a ses repaires, c’est sympa. »
Mark Webber, Porsche n°20
« Le travail réalisé par le circuit pour obtenir un tel niveau de clarté est très impressionnant, ici à Bahreïn. On n’a plus vraiment besoin des phares et je n’ai absolument rien à reprocher à l’éclairage de la piste. De mon côté tout est ok. »